El libro Viaje a Holanda, paseos y recuerdos de Paul Verlaine es una serie de ensayos y artículos que el poeta escribió durante su viaje a Holanda en 1892. En el libro, Verlaine describe sus impresiones y experiencias durante su viaje a Holanda, incluyendo sus visitas a ciudades como Rotterdam, La Haya, Ámsterdam y Utrecht. También habla sobre la cultura, la historia y la arquitectura de Holanda, así como sobre la naturaleza y los paisajes del país. También incluye en el libro algunas reflexiones sobre su propia vida y obra poética. Habla sobre sus influencias literarias, sus experiencias personales y su perspectiva sobre la poesía y el arte en general.

Este librito, publicado en 1894, es la primera defensa de los pueblos indígenas de la Patagonia.
No había indicios de un defensor de los nativos americanos en Ramón Lista, el primer explorador de la Patagonia, involucrado en la masacre de los onas durante la expedición de 1886 a Tierra del Fuego.
Gracias a la influencia de su suegro, fue nombrado gobernador de la región de Santa Cruz. Allí conoce a Kolia, una mujer tehuelche, y de esta relación nace una hija. Cuando la esposa de Lista se entera, se suicida de un tiro.
Desde hace dos años, Lista vive con los tehuelches. Para estar más cerca de Kolia y su hijo, traslada la capital a Río Gallegos. De esta vida en común extrae lecciones sobre lo que entonces se llama Berbería y Civilización y descubre Berbería del lado de Argentina. Así, ocho años después de haber masacrado a los Onas, escribió ?Una que desaparece", un alegato a favor de la Civilización, la de los indígenas.
Nada de esto impedirá que Julio Argentino Roca, el presidente argentino, continúe con la ?Conquista del Desierto? y extermine casi por completo a los pueblos originarios de la Patagonia. Cuando apareció el libro de Lista, sólo quedaban quinientos tehuelches.

Los rumores de las intrigas que llegaban de Francia obligaron a Napoleón a abandonar el grueso del ejército en su lenta retirada para llegar cuanto antes a París. Durante aquel periplo de incógnito, Caulaincourt acompañó al Emperador atravesando países amigos y enemigos. «Si nos detienen, imaginas la pinta que tendríamos en una jaula de hierro en la plaza de Londres», bromeaba Napoleón. Consciente de aquella privilegiada situación de intimidad con Napoleón, decidió anotar todas sus conversaciones. Por el día viajaban y, por la noche, Caulaincourt transcribía todo lo que hablaban. Este carnet de voyage trata de un viaje más allá de la Historia, un viaje a las entrañas de uno de los personajes más controvertidos de la historia del sueño de Europa. Un sueño imperfecto que siempre se ha perseguido, a veces con las armas, a veces sin ellas, pero siempre en riesgo de desintegración cuanto más cerca se está de hacerlo realidad. Quizá el lector perspicaz pueda ver que las claves de algunos éxitos y algunos fracasos de la nueva Europa, se hallaban ya en palabras dichas en este trineo hace 200 años.

Las motivaciones de los viajes de Bonneville han permanecido oscuras gracias a que no se han hallado los diarios originales en los que trabajó Irving para compilar sus aventuras. Si planeó sus expediciones para amasar una fortuna en el comercio de pieles, para satisfacer su espíritu aventurero, o para espiar para el gobierno, es algo que aun hoy es un misterio. Sus enemigos afirmaron lo primero, Irving lo segundo, y el mismo Bonneville apuntaba a veces a lo tercero.
Lo que sí es una verdad incontestable es que Bonneville abrió la ruta definitiva hacia el oeste gracias a la cual, 20 años después, los colonos pudieron protagonizar el periodo más célebre ?y que más tinta y celuloide ha tirado? de la Historia de EEUU: La Conquista del Oeste. Hay que destacar en favor de Bonneville dos virtudes no menores, la primera es que mientras él estuvo al mando de la expedición no murió ningún hombre y, la segunda, es que en sus encuentros con los nativos siempre supo evitar las hostilidades y generar complicidad.

Le récit qu il fait de cet enfer jaune nous fait partager un voyage à la limite de tout ce qu il y a de plus extrême : l'immensité sableuse, la fatigue, et surtout à la limite de soi-même... Car ce n est pas Fenouil qui traverse le désert, mais bien l inverse : le désert le pénètre, le traverse, le nourrit et irrigue toujours plus sa passion insatiable. Le désert l'éblouit tant qu il n aura plus qu un désir : repartir retrouver ces mers de sable et les parcourir. Ce n'est pas un hasard s'il cite les Chroniques Martiennes de Ray Bradbury, qui comparait le désert à une étrange planète avec d'enormes rochers, mystérieux météores comme abandonnées par de formidables mutants après un combat sans merci...
Dans cet espace grandiose et mystérieux, les routes sont rarement tracées, ni dans le sable ni sur les cartes. Fenouil y trouve pourtant son chemin et un sens a` son histoire. Pour lui, l aventure, c est s inventer une histoire à travers la grande Histoire, à travers les temps et les époques. Il ne contente pas d être un merveilleux conteur : il est aussi un historien, un cartographe.
Et le désert est là, le vrai désert sans rien, même pas du sable. Des étendues immenses et plates dont la gravité éblouit mon ?il de citadin. Au milieu, ce ruban de goudron orgueilleux et donc absurde dans sa volonté d'aller tout droit vers où ? Peu importe, l'essentiel est qu il y aille, qu il s'enfonce toujours plus avant dans le Grand Sud et moi avec lui. L'appel du désert c'est un peu comme le vertige des profondeurs.

Ce petit livre, paru en 1894, est le premier plaidoyer pour les peuples autochtones de Patagonie. Rien ne laissait présager un défenseur des Amérindiens en Ramón Lista, premier explorateur de la Patagonie, impliqué dans le massacre des Onas au cours de l?expédition de 1886 en Terre de Feu. Grâce à l?influence de son beau-père, il est nommé gouverneur de la région de Santa Cruz. Là il rencontre Kolia, une femme Tehuelche, et de cette relation naît une fille. Quand la femme de Lista l?apprend, elle se suicide d?un coup de fusil. Pendant deux ans, Lista vit avec les Tehuelches. Pour se rapprocher de Kolia et de son enfant, il déplace la capitale à Río Gallegos. De cette vie commune, il tire des leçons sur ce qu?on appelle alors la Barbarie et la Civilisation et il découvre la Barbarie du côté de l?Argentine. Ainsi, huit ans après avoir massacré les Onas, il écrit Une race qui disparaît, plaidoyer pour la Civilisation - celle des autochtones. Rien de tout cela n?empêchera Julio Argentino Roca, le président Argentin, de continuer la ?Conquête du Désert? et d?exterminer quasi complètement les peuples natifs de la Patagonie. Au moment de la parution du livre de Lista, il n?y avait plus que cinq cent Tehuelches.

C?est l?histoire d?un chercheur d?or nomme? Mark Twain, parti de Saint- Louis, Missouri, arrive? a? Virginia City, Nevada, quelque part entre 1856 et 1865. Un voyage qui devait se faire en trois mois aller-retour, dont quatre semaines en compagnie de son fre?re. Et qui se transforma en un pe?riple de sept ans, seme? d?incroyables aventures, tout au long des 3000 kilome?tres qu?une diligence faisait alors en 22 jours, et qu?une voiture ou un train parcourent aujourd?hui en seulement 26 heures.

En mai 1926, le dirigeable Norge de?colle du Spitzberg, a? son bord seize hommes sous la conduite de Roald Amundsen, qui avait mene? quinze ans plus to?t la premie?re expe?dition a? parvenir au Po?le Sud. Cette fois-ci, il veut parvenir au Po?le Nord par la voie des airs. Car Amundsen avait aussi cet autre but : survoler la partie alors totalement inexplore?e de la banquise, du Po?le au de?troit de Bering, pour s?assurer de l?existence ou non de terres inconnues dans cette zone; ta?che qu?il mena e?galement a? bien. Ce livre, e?dite? pour la premie?re fois en 1927, est e?crit par Amundsen mais aussi, a? plusieurs voix, par ses compagnons d?aventure, Riiser-Larsen le pilote et navigateur, Ellsworth le me?ce?ne, mais aussi le radio et ceux qui ont pre?pare? le voyage, conduit l?ae?rostat de Rome au Spitzberg via la France, l?Angleterre, la Norve?ge et Le?ningrad, ceux qui ont construit l?immense hangar pendant les mois de nuit polaire, ceux qui enfin, sans presque dormir durant trois jours, grelottant dans leur habitacle, rive?s a? leurs sextants et a? leurs e?couteurs, s?enfonc?ant dans les bancs de brume et voyant le givre s?accumuler sur leur appareil comme un pe?ril mortel, ont ve?cu - et vous feront revivre - une des plus e?tonnantes expe?ditions de tous les temps.

Kunupaluk : c'e?tait le nom donne? a? Knud Rasmussen par les Inuit. Avec eux, qui ne se confient pas si facilement sur leurs croyances et traditions, il e?tait arrive? a? un tel degre? de complicite? et d'intelligence que ses travaux sont encore aujourd'hui une re?fe?rence pour ceux qui s'inte?ressent a? la grande culture de l'Arctique. Ce livre est un recueil de coutumes, contes, mythes et le?gendes ? et me?me un compte-rendu des premie?res de?couvertes fossiles de la pre?histoire esquimaude. Mais c?est aussi le vivant re?cit d'une traverse?e de tous les territoires habite?s par les Inuit. Rasmussen a e?te? le premier europe?en a? franchir le passage du Nord- Ouest en trai?neau a? chiens. C'est lui qui a le premier retrouve? les traces des expe?ditions perdues : celle de John Franklin sur les HMS Erebus et Terror, celle d'Andre?e en ballon a? hydroge?ne. Mais ces exploits sont peu de chose vis-a?-vis de ce que Rasmussen nous a laisse? de plus pre?cieux, un travail de terrain qui a re?ve?le? aux yeux du monde la spiritualite? authentique du peuple inuit.

«La muerte, o la costa oeste» El sentido común no entraba en los planes de Nansen para atravesar Groenlandia. Tras ocho intentos fallidos de otros exploradores demasiado prudentes, Nansen organizó su reducido equipo humano y técnico en menos de seis meses, lanzando la exploración polar a la era moderna. Su estrategia: impedir la vuelta atrás, quemar las naves. Al partir desde la deshabitada costa este hacía la habitada costa oeste, eliminaba la posibilidad de retroceder ante un hipotético fracaso, pues, ¿qué haría el equipo volviendo al punto de partida en mitad de la nada? ¿Esperar hasta morir?
Así pues, la única salvación posible era avanzar hacia el éxito. «La exploración es como la guerra, hay que prever una retirada, y usted, Nansen, no la tiene» Adolf Erik Nordenskiöld «La idea es temeraria y en total oposición al sentido común» Mikkel Hemmerstveit